4 ème EDITION

 

 

 

Deux films ont été primés.

     

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PRIX DU JURY ETUDIANT 2016

ET MAINTENANT NOS TERRES
de Julien Le Net et Benjamin Poile
( France/Canada - documentaire)

Synopsis : Et Maintenant Nos Terres raconte l’histoire de trois résistants à l’accaparement des terres en Afrique, trois héros de la paysannerie qui défendent leurs terres et leur mode de vie face à des investisseurs étrangers.


LISTE DES FILMS

1 LES DINOSAURES DU DESERT /
Anis ABSI/ Tunisie / Documentaire
2 LA JEUNE FILLE ET LES TYPHONS /
Christoph SCHWAUGER / France / Documentaire
3 LES POISONS /
Abraham FOFANA / France / Documentaire
4 PRECIEUX /
Guillaume TAMBELE / Cameroun / Fiction
5 SENSITIVE /
Ut Barley SUGAR / France / Autre
6 DANSE AVEC LES DAUPHINS/
Stephane GRANZOTTO / France / Documentaire
7 PLANETE SABLE DE LA CHINE CONTRE LE DRAGON /
Thierry BERROD / France / Documentaire
8 IL NE LEUR MANQUE QUE LA PAROLE /
Alain DAIX / Canada / Documentaire
9 OKUTA LA PIERRE /
Aymar ESSE / Benin / Maroc / Documentaire
10 ET MAINTENANT NOS TERRES /
Julien LE NET et Benjamin POILE / France/Canada / Documentaire
11 JEAN GENTIL /
Laura Amelia GUZMAN et Israel CÁRDENAS / République Dominicaine / Fiction
12 KOLWEZI ON AIR /
Idriss GABEL / Belge / Documentaire
MENTION DU PUBLIC

KOLWEZI ON AIR d'Idriss GABEL
(Belge- documentaire)

Synopsis : Sous le feu insatiable des caméras de la plus importante télévision locale de Kolwezi, la RTMA, la société congolaise, avide de sa propreimage, se dévoile sans fard et sans pudeur.

Gérard LE CHÊNE - INVITE D'HONNEUR    


Gérard Le Chêne



   
Gérard Le Chêne (Canada) directeur du grand rendez-vous Vues d’Afrique à Montréal, également réalisateur du film de la soirée d’ouverture le jeudi 8 décembre au Mega-Mall est l’invité d’honneur 2016.

LE MOT DE LA MARRAINE 2016

 
   
Au début des années 70 en France, il n’était pas rare que les bricoleurs jettent leurs huiles de vidange dans la rivière ou la mer et que les promeneurs abandonnent leurs déchets au beau milieu de la forêt... A la même époque, en me glissant silencieusement à plus d’heure de ma chambre à la porte entrebâillée du salon, je regardais à la télévision, littéralement dans le dos de mes parents, le ciné-club du vendredi soir. Mes parents n’ont jamais compris pourquoi, les samedis matins, j’avais tant de peine à me lever pour aller à l’école, moi qui y filais si gaiement le reste de la semaine ! Claude-Jean Philippe, l’homme du ciné-club, est mort il y a peu, sans doute sommes-nous nombreux (garçons et filles – et je souligne filles, car ce n’était pas si évident) d’avoir grâce à son émission un jour rêvé, puis choisi, de faire du cinéma... 
Je suis donc scénariste et c’est un métier pour lequel je me lève gaiement. 
Autour de moi, le monde a changé : on s’inquiète un peu plus de la nature et des sacs plastique jetés n’importe où. Un peu plus, pas encore assez – sans parler des pollutions industrielles, qui demeurent faute au profit. Dans la fiction, qui est mon domaine, on peut tout imaginer : anéantir des villes, exterminer d’invraisemblables dinosaures, assécher les océans... Dans la réalité, nous n’aurons jamais le pouvoir de recréer tout ce que nous aurons détruit. Chaque année, la pollution, la surconsommation, la déforestation, le braconnage, le réchauffement climatique, font disparaître partout dans le monde des lieux et des espèces ; ils jettent aussi sur les routes de l’exil des millions d’êtres humains.
Enfant, le cinéma était un rêve et je pensais devenir archéologue, partir à la recherche de mondes ensevelis, disparus. Ces mondes-là, je préfère qu’ils restent « du cinéma ». Et que dans la réalité, avec nos bonnes volontés et aussi nos choix politiques, nous parvenions à protéger tout ce qui doit l’être et à réparer ce qui a été abîmé.
Je sais que Nadine Otsobogo porte à bout de bras ce festival de Masuku qui unit deux causes qui nous sont chères, le cinéma et l’homme dans son environnement. De loin, de la Russie, de la Chine ou des Etats-Unis, ça peut passer pour un petit festival dans un petit pays... Mais il faut toujours se méfier des cailloux dans les chaussures – ils ont déjà fait perdre des batailles et tomber des rois !

Nadine LAMARI

Nadine Lamari (France),

ancienne élève de la FEMIS,  scénariste de films dont certains  furent présentés à Cannes Un  certain regard / Semaine de la  critique et à Locarno.
    

JURY ETUDIANT

             

Ranny Jelyssa YAKAYE OKAMBA

 

Soulemane PARKOUDA

 

Hilda Marion MBIRA-NZE SENA

 

Elvis Jolinom MBOT

Je nomme Ranny Jelyssa YAKAYE OKAMBA , j'ai 23 ans je suis née à Franceville et je suis étudiante en 2ème année de Comptabilité Gestion. Je suis très enchantée de faire parti de ce jury, car pour moi cela est non seulement une nouvelle expérience à vivre mais aussi, un nouveau défit à relever.
   
Je suis Soulemane PARKOUDA .Je suis étudiant en master de biologie cellulaire et physiologie en option génie biologie et pharmacologie. Ce qui me motive a faire parti de l’aventure du festival du film de Masuku est la mise en évidence de l’intérêt que nous devons avoir, face à notre environnement.
   
Je m'appelle Hilda Marion MBIRA-NZE SENA, j'ai 23 ans et je suis étudiante en 4eme année de médecine à l'université des sciences de la santé. J'ai diverses passions axées sur l'art telles que la musique, le cinéma, la danse, la lecture et la photographie. C'est une immense joie et un grand honneur d’ être membre du jury du festival pour assister à de l'art visuel gabonais.
   
Je m’appelle Elvis Jolinom MBOT . Je prépare un doctorat dans le domaine de la chimie des substances naturelles dont le thème est: contribution à l'étude des essences à potentialité antidiabetiques utilisées au Gabon. Je suis excité à l'idée d'appartenir à ce jury étudiants du festival de Masuku